Où le rêve tourne vite au cauchemar pour Melle Jones...
Coraline ;
animation d'Henry Selick inspiré du roman éponyme de Neil
Gaiman.
Nous connaissions Selick pour avoir collaboré avec Mr Burton dont pour mettre en fome ce que ce dernier avait imaginé sur papier : L'étrange Noël de Mr Jack.
Cette fois-ci, c'est en inspirant du roman [dit] jeunesse de Gaiman que Selick nous propose une animation des plus prenantes et époustouflantes !
Coraline, dont le roman de base a été lu et dévoré il y a quelques mois de cela puis partagé sur ce même espace, est une animation à envoûter par son merveilleux, à surprendre ceux et celles qui n'ont eu connaissance du roman de Gaiman, à attendrir par son caractère poétique et mélancolique (l'accompagnement sonore n'étant pas incompris), mais aussi, à faire frissonner les petits comme les plus grands par l'étrangeté et obscurité même que présente l'intrigue de l'animé ; tout comme le livre...
Coraline c'est un univers à la fois magique, merveilleux mais aussi sombre et mystérieux ! Digne d'un Burton !
Coraline et ses Vrais Parents : Le quotidien, c'est monotone...
L'intrépide Coraline s'en va dans la "gueule du loup" ! [Mais cela, elle ne l'apprendra et comprendra, que
plus tard, à ses dépends]
Synopsis :
Alors que la famille Jones vient tout juste d'emménager dans une ancienne demeure, Coraline se sent déjà délaissée par ses parents, tellement omnibulés par leur travail qu'ils ne songent même pas à défaire les cartons et à s'installer à leurs aises. Coraline s'ennuie de ce quotidien, se voit déçue du voisinage qui lui semble des plus loufoques, et est plus qu'agacée par Manie, un garçon de sa tranche d'âge au style vestimentaire partculier [qui nous rappelle un personnage...] et, à sa manière, aventurier !
Alors que Coraline n'attend rien de son entourage, elle hérite pourtant d'un présent de Manie : Une poupée à son effigie... à une exception près : les yeux de la Coraline d'origine laissent place, sur la poupée, à une paire de boutons.
La nuit suivant ce présent inattendu, et qui paraît plus comme une blague qu'un cadeau de bienvenue pour Coraline, s'avère des plus magiques et étranges...
C'est par le biais d'une porte, habituellement, condamnée que Coraline se retrouve dans un monde parallèle... Un autre monde où le paysage et voisinage sont les mêmes que celui qui entourent depuis peu la fille Jones... Mais en ce monde tout semble mieux... Les faux parents sont attentifs aux désirs et besoins de la fillette, le voisinage est plus déluré que jamais au grand bonheur de Coraline, et Manie, muet en cet autre monde, est le camarade idéal !
Tout est parfait en ce monde ! ... Coraline multiplie ses escapades noctures, puis diurnes... Mais elle ne savait pas, ne se doutait pas que la perfection n'était bien souvent qu'illusion !
Elle aurait dû se méfier de ces êtres dénués de yeux !
Heureusement, non loin de Coraline, Le chat rode...
On s'amuse avec Faux Papa qui a beaucoup plus de temps à nous accorder
!
L'Autre Mère prends temps de confectionner de bons petits
plats à la fillette.
Mais tout ceci, au final, n'a-t-il pas un prix ?
...
Des alliés :
Un chat, qui sauf exception, n'a pas pour habitude chasser les rats [ne vous fiez pas aux apparences, camarades !]...
Manie, qui fera, dans un premier temps et pour un bon temps,
mauvaise impression à Coraline.
Miss Spink & Miss Forcible, deux anciennes vedettes du cabaret devenues collectionneuses de chiens empaillés et angelés !
Même dans l'autre monde, les alliés seront afin de vaincre le démon...
[Et encore, là n'est que le début...]
Il nous semble que cette adaptation n'a pu que renforcer la notoriété de Selick ; mais aussi celle de Gaiman car, n'est-ce pas lui qui fut à l'origine de cette histoire à la fois fabuleuse, mystérieuse et sombre qu'est celle de Coraline ?
Aussi, en plus de reconnaître et féliciter le travail de Selick, nous acceptons sans mal les ajouts, dont de personnages, ainsi que les choix et accompagnements sonores et musicaux !
Nous nous plongeons à l'intrigue du film...
Nous suivons, avec intérêt, attachement et curiosité, Coraline dans ses caprices, ses joies et peines, et volontés !
Coraline regrettera-t-elle ses Vrais Parents lorsque les masques tomberont ?
Arrivera-t-elle à bout de cette Fausse Mère ?
Qui se feront les alliés de l'une, alors que d'autres le seront de l'autre ?
Avec qui ? Avec quoi ? Et surtout, comment arriver à bout de ce rêve devenu cauchemar ?
...
Aussi, nous nous réjouissons de la physionomie du chat : Il est comme nous aurions pu l'imaginer lors de la lecture du roman de Gaiman !
Il fut, seulement, dommage de ne pas l'avoir plus aperçu, même discrètement, dans l'animé.
Oui ! Vous l'aurez compris, AneverBeen a, davantage, eu un coup de coeur pour Le chat que pour la jeune héroïne !
[Ainsi, et pour la peine, ce sera ici, chez elle, que Le chat sera vedette !]
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Enfin, dans l'ensemble, Coraline est un animé que nous pourrions considéré comme plaisant, prenant et réussi ; et presque à la hauteur du livre !
Gaiman a merveilleusement imaginé alors que Selick a joliment concrétisé !
Entre merveilleux et mystérieux, suivez l'aventure fantastique et, quelque peu, effrayante de Coraline !
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Nous connaissions Selick pour avoir collaboré avec Mr Burton dont pour mettre en fome ce que ce dernier avait imaginé sur papier : L'étrange Noël de Mr Jack.
Cette fois-ci, c'est en inspirant du roman [dit] jeunesse de Gaiman que Selick nous propose une animation des plus prenantes et époustouflantes !
Coraline, dont le roman de base a été lu et dévoré il y a quelques mois de cela puis partagé sur ce même espace, est une animation à envoûter par son merveilleux, à surprendre ceux et celles qui n'ont eu connaissance du roman de Gaiman, à attendrir par son caractère poétique et mélancolique (l'accompagnement sonore n'étant pas incompris), mais aussi, à faire frissonner les petits comme les plus grands par l'étrangeté et obscurité même que présente l'intrigue de l'animé ; tout comme le livre...
Coraline c'est un univers à la fois magique, merveilleux mais aussi sombre et mystérieux ! Digne d'un Burton !

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Synopsis :
Alors que la famille Jones vient tout juste d'emménager dans une ancienne demeure, Coraline se sent déjà délaissée par ses parents, tellement omnibulés par leur travail qu'ils ne songent même pas à défaire les cartons et à s'installer à leurs aises. Coraline s'ennuie de ce quotidien, se voit déçue du voisinage qui lui semble des plus loufoques, et est plus qu'agacée par Manie, un garçon de sa tranche d'âge au style vestimentaire partculier [qui nous rappelle un personnage...] et, à sa manière, aventurier !
Alors que Coraline n'attend rien de son entourage, elle hérite pourtant d'un présent de Manie : Une poupée à son effigie... à une exception près : les yeux de la Coraline d'origine laissent place, sur la poupée, à une paire de boutons.
La nuit suivant ce présent inattendu, et qui paraît plus comme une blague qu'un cadeau de bienvenue pour Coraline, s'avère des plus magiques et étranges...
C'est par le biais d'une porte, habituellement, condamnée que Coraline se retrouve dans un monde parallèle... Un autre monde où le paysage et voisinage sont les mêmes que celui qui entourent depuis peu la fille Jones... Mais en ce monde tout semble mieux... Les faux parents sont attentifs aux désirs et besoins de la fillette, le voisinage est plus déluré que jamais au grand bonheur de Coraline, et Manie, muet en cet autre monde, est le camarade idéal !
Tout est parfait en ce monde ! ... Coraline multiplie ses escapades noctures, puis diurnes... Mais elle ne savait pas, ne se doutait pas que la perfection n'était bien souvent qu'illusion !
Elle aurait dû se méfier de ces êtres dénués de yeux !
Heureusement, non loin de Coraline, Le chat rode...

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Mais tout ceci, au final, n'a-t-il pas un prix ?
...
Des alliés :

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Même dans l'autre monde, les alliés seront afin de vaincre le démon...
Il nous semble que cette adaptation n'a pu que renforcer la notoriété de Selick ; mais aussi celle de Gaiman car, n'est-ce pas lui qui fut à l'origine de cette histoire à la fois fabuleuse, mystérieuse et sombre qu'est celle de Coraline ?
Aussi, en plus de reconnaître et féliciter le travail de Selick, nous acceptons sans mal les ajouts, dont de personnages, ainsi que les choix et accompagnements sonores et musicaux !
Nous nous plongeons à l'intrigue du film...
Nous suivons, avec intérêt, attachement et curiosité, Coraline dans ses caprices, ses joies et peines, et volontés !
Coraline regrettera-t-elle ses Vrais Parents lorsque les masques tomberont ?
Arrivera-t-elle à bout de cette Fausse Mère ?
Qui se feront les alliés de l'une, alors que d'autres le seront de l'autre ?
Avec qui ? Avec quoi ? Et surtout, comment arriver à bout de ce rêve devenu cauchemar ?
...
Aussi, nous nous réjouissons de la physionomie du chat : Il est comme nous aurions pu l'imaginer lors de la lecture du roman de Gaiman !
Il fut, seulement, dommage de ne pas l'avoir plus aperçu, même discrètement, dans l'animé.
Oui ! Vous l'aurez compris, AneverBeen a, davantage, eu un coup de coeur pour Le chat que pour la jeune héroïne !
[Ainsi, et pour la peine, ce sera ici, chez elle, que Le chat sera vedette !]
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Enfin, dans l'ensemble, Coraline est un animé que nous pourrions considéré comme plaisant, prenant et réussi ; et presque à la hauteur du livre !
Gaiman a merveilleusement imaginé alors que Selick a joliment concrétisé !
Entre merveilleux et mystérieux, suivez l'aventure fantastique et, quelque peu, effrayante de Coraline !