Un esprit humain dans un corps canin...
Les morsures de l'amour ; Michel Monnereau.
Mordre pour se venger, se soulager...
Appeler...
Benjamin, Minmin, qui remercie Dieu de ne pas s’être fait appelé Conrad par Gustave et Odette, alias, respectivement, Tatave et Dédette, s’ennuie de son boulot, de sa conjointe, de ses parents, de sa vie…
Un soir, il fait souhait de se retrouver dans la peau d’un chien…
Vœu entendu et accepté ; le lendemain matin, au côté de Jacqueline, Benjamin se réveille dans la peau d’un chien de race indéterminé mais d’un certain charme…
Il décide de prendre la poudre d’escampette, se faisant ainsi passé pour disparu, allant à la rencontre du monde dans un nouveau corps mais avec son esprit et ses facultés intellectuelles d’Homme…
-MM-
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Appeler...
Benjamin, Minmin, qui remercie Dieu de ne pas s’être fait appelé Conrad par Gustave et Odette, alias, respectivement, Tatave et Dédette, s’ennuie de son boulot, de sa conjointe, de ses parents, de sa vie…
Un soir, il fait souhait de se retrouver dans la peau d’un chien…
Vœu entendu et accepté ; le lendemain matin, au côté de Jacqueline, Benjamin se réveille dans la peau d’un chien de race indéterminé mais d’un certain charme…
Il décide de prendre la poudre d’escampette, se faisant ainsi passé pour disparu, allant à la rencontre du monde dans un nouveau corps mais avec son esprit et ses facultés intellectuelles d’Homme…
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Monnereau a su faire preuve d'un bon humour
dans son roman et sera attendrir plus d'un de ses lecteurs à travers son personnage principal qu'est celui de Minmin devenu chien et prenant les noms de Prince puis de Fidèle lors de son
incroyable aventure et vie canine !
Monnereau écrit simplement ; la lecture se fait alors fluide. Ainsi, vous l'aurez compris, Les morsures de l'amour est un livre plus ou moins prenant, même si plus que moins et ce malgré quelques moments calmes ou qui paraissent de trop.
Lire Les morsures de l'amour, c'est s'offrir une lecture pour rire, pour le plaisir ; mais aussi pour s'instruire, pour apprendre ce qu'est la vie de chien (même si l'on ne peut réellement savoir) ! Monnereau s'étant inspiré de faits et situations canins pouvant être, nous apprend qu'être dans la peau d'un chien ne signifie pas forcément avoir la belle vie... N'eut-il pas un chanteur (qui fut considéré comme tel) pour chanter "Chienne de vie" ?
Nous approuvons. Le chien, ou quelconque animal, comme l'Homme ne vit, (presque) jamais, sans mal...
Alors pourquoi maltraiter les animaux et ne pas leurs offrir autant que nous voudrions nous voir offrir ?
"Aider son prochain" ne peut-il signifier venir en aide à l'un comme l'autre ?
AneverBeen pense qu'il est bon de penser aux autres (sans pour autant s'oublier) ; mais dans ses autres, n'oublions pas qu'en plus des bipèdes, d'autres espèces se font présentes en ce monde et que ces dernières ont tout autant besoin de nos aide et affection que ces premiers.
Le roman ne Monnereau n'a fait que renforcer les points de vue et pensées d'AneverBeen en ce qui concerne ceux (...) qui l'entourent.
Ainsi Monnereau, en plus de nous offrir un roman qui ne manque pas d'humour, nous offre une lecture touchante.
Et enfin, la fin de ce livre nous invite, agréablement, au suspens et à l'imagination...
AneverBeen est mordue !
Dans toute vie, il peut y avoir du bon comme du mauvais...
Monnereau écrit simplement ; la lecture se fait alors fluide. Ainsi, vous l'aurez compris, Les morsures de l'amour est un livre plus ou moins prenant, même si plus que moins et ce malgré quelques moments calmes ou qui paraissent de trop.
Lire Les morsures de l'amour, c'est s'offrir une lecture pour rire, pour le plaisir ; mais aussi pour s'instruire, pour apprendre ce qu'est la vie de chien (même si l'on ne peut réellement savoir) ! Monnereau s'étant inspiré de faits et situations canins pouvant être, nous apprend qu'être dans la peau d'un chien ne signifie pas forcément avoir la belle vie... N'eut-il pas un chanteur (qui fut considéré comme tel) pour chanter "Chienne de vie" ?
Nous approuvons. Le chien, ou quelconque animal, comme l'Homme ne vit, (presque) jamais, sans mal...
Alors pourquoi maltraiter les animaux et ne pas leurs offrir autant que nous voudrions nous voir offrir ?
"Aider son prochain" ne peut-il signifier venir en aide à l'un comme l'autre ?
AneverBeen pense qu'il est bon de penser aux autres (sans pour autant s'oublier) ; mais dans ses autres, n'oublions pas qu'en plus des bipèdes, d'autres espèces se font présentes en ce monde et que ces dernières ont tout autant besoin de nos aide et affection que ces premiers.
Le roman ne Monnereau n'a fait que renforcer les points de vue et pensées d'AneverBeen en ce qui concerne ceux (...) qui l'entourent.
Ainsi Monnereau, en plus de nous offrir un roman qui ne manque pas d'humour, nous offre une lecture touchante.
Et enfin, la fin de ce livre nous invite, agréablement, au suspens et à l'imagination...
AneverBeen est mordue !
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