Les contes de Terremer_Goro Miyazaki
Les contes de Terremer ; Goro Miyazaki, fils du célèbre et maître de l'animation japonaise, Hayao Miyazaki
!
Le premier, et peut-être unique, animé de Goro Miyazaki...
La raison étant que nous pensons de suite (pour généraliser) à comparer l'unique animé de Goro à ceux
et nombreux animés de son réputé et clamé père, Hayao Miyazaki, dans le milieu qu'est celui de
l'animation japonaise.
Pour ma part, il me semble que Les contes de Terremer du fils
Miyazaki, même si moins fanataisiste que les animés du père Miyazaki, mérite sa place au sein de
la Collection Studio Ghilbi.
Le respect et la qualité des dessins "sont" ; les personnages "sont" également ; aussi, à travers l'animé de Goro nous pouvons percevoir une (ou plusieurs) moralité(s) (ayez de l'imagination et réflexion ) en plus d'avoir l'opportunité de plonger dans un univers magique et fantastique...
Venez à la rencontre des dragons et sorciers...
Résume :
Un déséquilibre pèse sur le monde...
C'est alors que le jeune prince Arren va s'allier avec le grand mage Epervier pour remédier à ce déséquilibre : le destin
du monde repose entre leurs mains !
Leurs mains mais aussi entre celles de la jeune et mystérieuse
Therru...
Hélàs, le maléfique sorcier Aracnéide n'est pas de cet avis et va, avec l'aide de ses hommes, tenter d'amadouer le jeune
prince -élu- pour détenir les pleins pouvoirs et surtout échapper à ce qu'il redoute le plus : la mort...
La mort étant une chose aussi effrayante pour le sorcier que pour le prince Arren...
Quand sera-t-il du monde ?
D'Arren, Epervier et Therru ?
Arren se fera-t-il à l'idée de n'être qu'éphémère ?
Therru arrivera-t-elle à faire face à sa vraie nature ?
...
Acceptons la providence : l'Homme n'est qu'éphémère ; toute chose a une fin, il en est ainsi...
La vie a un début et une fin.
Puis, comment pourrions jouir de ce qui nous semble "joie", "bon", "doux"... , si l'immortalité était ?
Serions-nous capable de profiter au mieux de ces mêmes choses si jamais la fin ne serait ?
Vivre, vivre, vivre... et vivre encore ; en serions-nous seulement capables ?
Accepter notre destin, soit nos début et fin...
Et
enfin, s'accepter en tant qu'indiviu mais aussi en tant qu'Homme -mortel-...